Venezuela : Evoquer le Commandant Chávez, c'est parler de fraternité et de générosité
La délégation du Salvador au XV° Sommet de l'Alliance Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA-TCP) a souligné lundi qu'évoquer le dirigeant suprême de la Révolution Bolivarienne Hugo Chávez Frías signifie évoquer la fraternité et la générosité entre les peuples.
« L'intégration et l'unité de l'Amérique Latine et des Caraïbes ont fait partie des plus grands désirs du regretté ex-président (Hugo Chávez), c'est pourquoi, grâce à son travail, il a laissé une trace profonde qui nous guide sur la route de la solidarité entre nos peuples et pour le Salvador, évoquer l'ex-président Chávez, c'est parler de fraternité et de générosité, » a souligné le représentant de la délégation salvadorienne.
Sur Venezolana de Televisión, il a rappelé le soutien apporté par le Venezuela au Salvador pendant le tremblement de terre qui a secoué ce pays en 2001 : « Lors de cette urgence nationale, la coopération vénézuélienne a centré ses activités sur la municipalité de Comasagua, département de La Libertad, travaillant main dans la main à la construction de logements, de routes, apportant des soins hospitaliers à ceux qui en avaient le plus besoin. »
II a aussi souligné aussi qu'en 2006, le Salvador a reçu la Mission Miracle, un programme de santé grâce auquel 6 500 patients atteints de troubles de la vision ont été soignés jusqu'à présent dans le pays.
Il a aussi souligné que le programme de bourses d'études de la Fondation Grand Maréchal d'Ayacucho a bénéficié à environs 170 jeunes Salvadoriens, en particulier grâce à l'Ecole Latino-américaine de Médecine.
« Nous avons, en plus, des apports importants grâce à l'entreprise ALBA Petróleos qui, pendant ces 11 dernières années, a accompagné les efforts du Gouvernement central, en particulier grâce à des initiatives comme le programme Un enfant,un ordinateur qui a donné environ 22 000 ordinateurs, 4 000 bourses à des jeunes pour des études de base et des études supérieures et a réparé 120 écoles. »
Texte : Sandra Izarra
traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos
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