Venezuela : Le rapport de Bachelet protège les responsables de la violence
Le Comité des Victimes de la Guarimba a dénoncé jeudi le fait que le rapport présenté par la Haute Commissaire aux Droits de l'Homme de l’Organisation des Nations Unies (ONU), Michelle Bachelet, protège les responsables de la violence au Venezuela et ne rend pas compte des témoignages présentés par les victimes de la violence de la droite.
« En juin de cette année, la Haute Commissaire aux Droits de l'Homme Michelle Bachelet a entendu en personne nos témoignages en tant que victimes de a violence de l'opposition et s'est engagée à les incorporer à son rapport. Nous avons été déçus, » a écrit le comité sur son compte Twitter.
Il a signalé que dans ce document, intitulé A/HRC/41/18, on ne donne pas de visibilité aux victimes ais on demande la libération de ceux qui sont impliqués dans les violences qui ont fait des dégâts et provoqué des pertes humaines dans le pays depuis 2014.
« Le rapport de Michelle Bachelet rend invisible – une fois de plus – les victimes et protège les responsables de la violence qui a causé tant de dommages au pays. La partialité avec laquelle agit le Bureau de la Haute Commissaire à propos du Venezuela est indéniable, » a-t-il écrit dans un autre message.
Un pu plus tôt, le Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela avait présenté 70 observations sur ce rapport dans lequel on présente une vision sélective et partiale de la véritable situation des Droits de l'Homme dans le pays.
traduction Françoise Lopez pour Bolivar Infos
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