Argentine : De Davos à l'Argentine, le revenu universel et le nouveau projet kirchneriste
Par Nicolas Salas
Face a l'aggravation de la faim, de la pauvreté et des conflits sociaux au niveau mondial, au forum de Davos où se réunit la « crème de la crème » patronale, politique et intellectuelle de la planète, on discute de la possibilité de mettre en place un revenu universel pour les personnes au chômage. En Argentine, l'union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) présente son projet de salaire de base universel. Pour sa part, le kirchnerisme a commencé à travailler sur sa propre proposition dans le cadre de la dispute que la vice-présidente Cristina Fernandez a engagée contre les organisations sociales pour les discipliner politiquement et leur disputer la gestion des plans sociaux. Pendant ces dernières heures, on a eu connaissance du projet de loi baptisé « renfort de revenus, » destiné aux chômeurs de plus de 25 ans à 59 ans pour les femmes et jusqu'à 64 ans pour les hommes. Les fondements de ce rapport ne sont pas encore mis en place et il ne contient pas d'identité dissidente. Le montant de ce revenu serait proche du panier de base alimentaire (CBA) mis en place par l'INDEC qui, en juin, avait une valeur de 14, 401 $ pour une personne seule.
Dans une question de trois mots, Scotte Santens, référent du réseau pour un revenu de base des États-Unis, a réussi à synthétiser la préoccupation qui empêche les riches du monde de dormir : « que ne ferait-il pas ? » se demande-t-il à propos de ces personnes au chômage qui pourraient percevoir un revenu mensuel fixe. « Peut-être l'argument décisif est-il que le revenu de base est rapidement devenu un impératif politique à moins qu’on introduise quelque chose de semblable, le soutien des populistes et des démagogue continuera de croître, » ajoute, pour sa part, l'expert de l'université de Londres Guy Standing qui développe depuis des années ses thèse sur la précarité dont beaucoup s'apparentent à celle de « l'économie populaire » développée par les membres de l'union des travailleurs de l'économie populaire (UTEP) en Argentine.
Les deux dissertations ont été présentées au forum économique mondial (FEM) plus connu sous le nom de forum de Davos où se réunit « la crème de la crème » patronale, politique et intellectuelle de la planète Terre. Étant donné qu'ils vient de l'endroit où se cuisine une partie des débats, nous pouvons dire qu'en terme stratégique, l'application du revenu universel (salaire universel pour ces terres) n'est pas nécessairement une mesure progressiste ou de tendances de gauche. Le débat en Argentine a pris plus d'ampleur à partir de l'initiative présentée il y a des années par des législateurs qui répondent au Front Grande Patrie qui a comme plus important représentant Juan Grabois.
Après avoir résisté étendu la corde dès le gouvernement national pour que soit approuvé cette initiative, finalement le parti au pouvoir et l'opposition au refus et d'aborder cette proposition. Petit détail dans le débat qu'on ne peut oublier : d'un côté de l'océan Atlantique, on parle d'un revenu mensuel de 1000 $ étasuniens alors que de l'autre on envisage la valeur du panier attribué aux indigents.
Au milieu de la bataille et après la démission du ministre de l'économie de l'époque Martin Guzman et parallèlement à la gestion fugace de Silvina Batakis, le kirchnerisme a commencé à travailler sur sa propre proposition dans le cadre de la dispute que la vice-présidente Cristina Fernandez a engagée contre les organisations sociales pour les discipliner politiquement et leur disputer la gestion des plans sociaux.
Pendant ces dernières heures, on a appris le projet de loi baptisé « renfort de revenus, » mis au point par la sénatrice kirchnériste Juliana Di Tullio. En principe, l'initiative fait honneur aux propositions de la vice-présidentes et de plusieurs dirigeants Kirchner East et… Aux organisations sociales puisque elle réussit ce qu'Édouard do do Aldi à… Une fois pour ses « chef de foyer » : l'universalité de la prestation. L'autorité de prestation restaurer aux mains de la haine SOS, actuellement dirigée par la référente de la Camora Fernanda rat Verta. L'univers auquel sera circonscrit ce revenu sera les adultes et les chômeurs 2 + 2 25 ans à 59 ans pour les femmes et à 64 ans pour les hommes. Les fondements de cette coupe ne sommes pas encore fixé et ne contiennent pas d'identité Dissident. Elle est incompatible avec tout programme national, le provincial municipal comme « renforcer le travail », «la carte alimentaire », les retraites et les pensions entre autres. Donne les fondements du projet, on se rend compte de la quantité de gens qui aspire à arriver à ce qu'on précise…
Le montant de ce revenu serait proche du panier de base alimentaire (CBA) mis en place par l'INDEC qui, en juin, avait une valeur de 14, 401 $ pour une personne seule. Maintenant, album, la personne bénéficiaire aura le « bénéfices » pour un an, appelle Lapse de temps sujet à des ajustements et à des révisions discrétionnaire comme cela se produisait au début du plein de travailler dans les années 90. Le suivi du respect de tous les critères sera réalisé par le registre national de renfort des revenus, un registre auquel les gens devront adhérer.
De son financement, on me précise que le fait qu'il sera assurée par des ressources provenant du trésor national. D'autres part, on laisse ouvert la possibilité de raccrocher ce bénéfice avec ce qu'on appelle des projets « liaisons » qui sont en train d'être mis en place par le Gouvernement (et d'échouer) . Dans ce cadre, on indique que « les mécanismes correspondants seront conçu pour que, en les coordonnées avec les différents secteurs de l'activité économique, on puisse incorporer des personnes au marché officiel du travail. »
Au-delà des intentions de certains secteurs de générer une politique distributive vers les secteurs les plus frappé par la crise, ce qui est certain, c'est qu'il y a des secteurs de la direction étrangère, les plus hégémonique dans la discussion, qui partent d'un endroit différent avec deux objectifs concrets : N concernant la dispute avec les organisations sociales et la nôtre camas Davos, éviter que la fin et la pauvreté fasse sauter les fusibles d'une classe politique qui craint un nouveau 19 et 20 décembre.
traduction Françoise Lopez pour Bolivar infos
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