Venezuela: Les foyers de violence provoqués par la droite sont sous contrôle
Traduction Françoise Lopez pour Amérique latine-Bolivar Infos
Ces groupes ont causé des dommages équivalent à 10% de ceux provoqués par les en las guarimbas de 2013 organisées par Henrique Capriles, de 2014 avec “La Sortie” organisée par María Corina Machado et Leopoldo López et en 2017 par Julio Borges.
Grâce à un déploiement militaire permanent, les autorités vénézuéliennes ont contrôlé les foyers de violence organisés à Caracas par l’extrême-droite dirigée par Maria Corina Machado et Edmundo González.
Le ministre de l’Intérieur et de la Justice, Remigio Ceballos, a confirmé que les attaques des groupes extrémistes obéissent à un ordre du jour de coup d’Etat et que ces groupes, grâce au cri de « fraude électorale » ont trouvé une excuse pour créer un climat d’angoisse et de violence dans le pays.
Ceballos a confirmé que la capitale est sous contrôle grâce à un déploiement des forces de l’ordre public et a affirmé que mardi et le reste de la semaine, une surveillance complète sera maintenue pour préserver les intérêts de la nation.
Il a condamné les attaques des groupes violents et les attaques contre les symboles patriotiques vénézuéliens et a affirmé que la droite cherche à mettre en place « à travers le fascisme pur » les doctrines passées et les scénarios violents qu’elle avait déjà cherche à mettre en lace contre la paix dans le pays.
Selon un rapport de la journaliste Madelein García, après un parcours dans les rues de Caracas, les organes de sécurité ont réussi à rétablir l’ordre sur les avenues qui convergent vers le Palais de Miraflores.
Et elle a indiqué que les principales avenues de la capitale ont déjà retrouvé la paix qui avait été b brièvement détruite par les foyers de violence qui, d’après elle, étaient en grande partie dirigés par des civils avec un casier judiciaire qui sont soupçonnés d’avoir reçu de l’argent en monnaie étasunienne pour créer le climat d’angoisse et de violence parmi le peuple vénézuélien.
Pour l'instant, la capitale vénézuélienne est sous le contrôle des autorités compétentes et les organismes travaillent déjà dans tout le pays pour faire respecter la loi et éviter une « répétition » des « guarimbas » de 2014 et 2017.
La vague de violences qui s’est déchaînée dans divers secteurs du pays ce lundi a été provoquée par le fait que la droite fasciste n’a pas accepté les résultats du Conseil National Electoral qui ont donné la victoire aux élections présidentielles à Nicolás Maduro avec plus de 5 000 150 voix.
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