Venezuela : Ce sont le FBI et la DEA qui ont créé le train d’Aragua
Traduction Françoise Lopez pour Amérique latine–Bolivar infos
Le président du du Venezuela, Nicolas Magro, a dénoncé vendredi pendant l'activation des 90 carrés de Paix le fait que la création des bandes criminelles comme feu le train d’Aragua a été encouragée et organisée par le Bureau Fédéral des Investigations (FBI) des États-Unis (USA) et l'Administration de Contrôle des Drogues (DEA) depuis la Colombie pour réaliser des activités terroristes au Venezuela.
« Nous allons les vaincre une nouvelle fois. Le train d’Aragua, ceux qui l'ont organisé, ce sont le FBI depuis la Colombie et la DEA depuis la Colombie. En Colombie et aux États-Unis, il doit y avoir des informations sur cela. Une bonne partie des principaux noms sont protégés dans ces pays, » a déclaré le chef de l’État.
D'autre part, Nicolas Maduro, en évoquant les 177 ressortissant vénézuélien qui sont arrivés à l'aéroport. Simon Bolivard à souligner : « Ils ne pouvaient pas voir le soleil, ils étaient maltraités en permanence et accusés de faire partie du train d’Aragua alors que le train avait été vaincu. Maintenant, ils cherchent à construire une petite campagne. »
Il a aussi souligné que « il créent tout un dossier pour justifier cette embuscade. Nous sommes prêts pour quoi que ce soit » et il a appelé instamment à continuer les carrés de paix et les politiques préventives.
Il a ajouté que le Venezuela a « démembré et détruit ce groupe criminel. L'activation dans toute la municipalité de sucre, des carrés tombe très bien. » Et il a assuré que «nous mettons en marche la nouvelle méthode. »
« Nous activons 90 nouveaux carrés de paix pour protéger, grâce a de nouvelles méthodes, surveiller un processus de libération du peuple de Petares, » a déclaré le président, et il a précisé qu'il y a un carré de paix pour chaque circonscription.
D'autre part, il a dit qu'ils vont mettre en place un protocole de suivi « de toutes les caméras pour protéger la population. Tout ce matériel doit rester en place, être entretenu. »
« Pour que toute cette offensive permettent de libérer sucre et de garantir la paix, et aussi le respect des droits des enfants, des adolescents, de leur droit à la santé mentale, l’éducation. »
Et il a conclu : « Avec la paix, tout fructifie. »
Source en espagnol :
URL de cet article :