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Venezuela : Discours du chancelier Yvan Gil à l'ONU

27 Septembre 2025, 16:06pm

Publié par Bolivar Infos

Traduction Françoise Lopez pour Amérique latine-Bolivar Infos

Honorables chefs de délégations, ministres, ambassadeurs, Monsieur le président,

Tout au long de ces derniers jours, nous avons entendu dans cette assemblée générale 2 récits : l’un, le discours des oligarques et de leurs satellites qui prétendent gouverner le monde et, l'autre, celui des peuples dignes qui luttent pour leur souveraineté et leur indépendance.

Les oligarques, dirigés par le Gouvernement des États-Unis d'Amérique, attaquent la Charte des Nations unies pour détruire cette organisation de l'intérieur et de l'extérieur, et ils y sont presque parvenus. C'est pourquoi ils encouragent la participation de corporations privées, d'organisations non gouvernementales et d'une autre sorte de stratégie pour ignorer la souveraineté des Etats. Ils appellent cela « un ordre basé sur des règles. »

En désaccord avec cela, les oligarchies recourent à des expressions politiques que nous croyions dépassées comme le fascisme et le nazisme. Ces courants politiques d'imposition et de domination encouragent le suprémacisme blanc, le racisme, la xénophobie et d'autres expressions rendues normales avec le soutien des grands monopoles des médias internationaux et sur les réseaux sociaux au service de l'impérialisme et du néocolonialisme en soutenant leurs plans pour créer des tensions, fabriquer des conflits et à affronter les peuples.

Pendant que nous parlons à cette assemblée, des bombes tombent sur Gaza où Israël a assassiné des dizaines de milliers d'enfants, de femmes et d'hommes innocents avec la complicité des Gouvernements des États-Unis, d'Amérique et de l'Union européenne. On commet le plus gros crime d'extermination et de génocide depuis celui perpétré par Hitler pendant la seconde guerre mondiale. Aujourd'hui, ils cherche à exporter leur haine et leur destruction dans toute une région en bombardant et en assassinant des innocents au Liban, en Syrie, et en essayant de déstabiliser la République d’ Iran. C'est une véritable menace pour l'humanité et la paix du monde.

Une nouvelle forme de terrorisme a été appliquée au Liban avec la complicité des entreprises privées qui gèrent les chaînes de fourniture des technologies de consommation de masse. Cela crée un grave précédent qui met en danger la sécurité du monde. Ils bombardent également des infrastructures civiles dans ce pays en assassinant des innocents comme ils le font à Gaza. Israël est devenu une machine de mort qui doit être arrêtée immédiatement.

Mais, au lieu d'arrêter le massacre et de juger ses responsables, les puissants continuent à élargir la guerre vers l'Europe et d'autres parties du monde grâce à des blocs militaires comme l'OTAN. Après la défaite de l'Ukraine dans son aventure nazie, ils cherchent maintenant à amener la guerre et le terrorisme dans la grande Russie qui, comme l'histoire nous l'a appris, en sortira toujours victorieuse.

L'expansion de  l’OTAN menace également la paix en Amérique du Sud, avec l'installation de bases militaires avec la complicité des Gouvernements laquais d'Argentine et d’Equateur.

Les discours de haine stimulent et créent le terrorisme dans ses différentes manifestations. Du territoire des États-Unis d'Amérique, par exemple, sont planifiés des attentats, des tentatives d'assassinat du président de la république, des déstabilisations et des agressions contre des peuples souverains comme celui du Venezuela. C'est pourquoi ils ont recours à l'utilisation des technologies de l'information et des communications, en particulier des réseaux sociaux contrôlés par les prête-noms de l’empire qui fabriquent des guerres psychologiques destinées à exploiter les sentiments de haine et de destruction sans aucune sorte de contrôle.

À cela s'ajoutent les attaques informatiques des infrastructures stratégiques vitales dont les services publics, les systèmes bancaires, pétroliers et électoraux, comme c'est arrivé dans mon pays, le 28 juin dernier. 

Monsieur le Président, Comment avancer dans des thèmes concernant la paix et la sécurité alors que l'organe chargé de veiller sur leur maintien est enlevé par les États-Unis d'Amérique dont le Gouvernement insiste pour apporter un cadre d'impunité à ceux qui violent le droit international ?

Depuis cette tribune, nous réaffirmons notre solidarité inébranlable envers le peuple palestinien frère que nous soutenons avec détermination dans sa juste cause et dans tout des efforts destinés à préserver un horizon politique clair qui préserve la viabilité de la solution de deux Etats sur la base des frontières d'avant 1967. Nous saluons le fait que, pour la première fois, dans l'histoire de cette assemblée, la délégation palestinienne s'assied avec nous, comme un état de plus aujourd'hui, plus que jamais, il est urgent que nous garantissions son incorporation immédiate dans cette organisation comme membre de plein droit.

Nous demandons aussi comment conclure l'ordre du jour de décolonisation si on continue à préserver un statu quo qui ne fait que favoriser les puissances occupantes et administratrices?

D'ici, toute notre solidarité, notre soutien ferme à tous les peuples qui lutte pour leurs droits inaliénable à la libre, détermination, pour leur indépendance total, et pour être de véritable les véritables Maître, de leur destin, de leur terre et de leur ressources. Il est temps que les souhaits de liberté de nos frères du Sahara occidental, de Porto Rico, de Nouvelle-Calédonie, de Polynésie française, de Bonaire et de tant de territoires, soient enfin réalisés.
Le Venezuela est un pays qui a une profonde vocation internationale, héritée de notre geste indépendantiste et du legs de notre libérateur Simon Bolivar, c'est pourquoi nous embrassons avec détermination toutes ces grandes causes que nous avons assumées traditionnellement comme si c'étaient les nôtres. Nous sommes décidés à contribuer à la fin du colonialisme sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations.

Dans le même sens, nous continuons à revendiquer la restitution des droits de souveraineté sur l'archipel de Chagos et des îles Malouines à leurs  légitimes propriétaires que sont la République de Maurice et la République Argentine. Malgré la trahison de l'ineffable Javier Milei envers la cause des Malouines, le peuple argentin, notre frère, pourra toujours compter sur la solidarité et le soutien complet du Venezuela dans cette juste revendication historique.

Monsieur le président, Encore aujourd'hui, les peuples du monde continuent à payer le prix des malheurs qu'à laissés le colonialisme des empires comme le Royaume uni qui a commis des crimes sur tous les continents et qui cherche à présent à les effacer impunément de nos mémoires.

L'un d'entre eux, dont l'effet nocif persiste encore, est le dépouillement des droits souverains du Venezuela sur notre Esequibo Guyanais. Ce vol a eu son origine dans la politique expansionniste et violente exercée par l'empire britannique sur le territoire vénézuélien pendant tout le XIXe siècle, où il a cherché à s'imposer de manière frauduleuse, en 1899, grâce à un arbitrage truqué par les puissances de l’époque.

Le 3 décembre 2023, le peuple vénézuélien s'est exprimé clairement et fermement dans un référendum consultatif grâce auquel il a accordé un mandat inéluctable à l'État vénézuélien pour récupérer l’Esequibo Guyanais, un territoire qui  est un héritage sacré de la lutte de nos Libérateurs.

Dans ce référendum, le peuple vénézuélien a ratifié la position historique de notre pays de ne jamais reconnaître la juridiction de la Cour International de Justice (CIJ) dans cette affaire, ni aucune des décisions qu'elle pourrait adopter dans cette affaire.

Le président du Guyana a menti à cette tribune à ce sujet. Le Venezuela ne reconnaît que l'accord de Genève de 1966 comme seule voie pour trouver une solution qui rétablisse les droits du Venezuela sur le territoire de l’ Esequibo guyanais.

Actuellement, les États-Unis d'Amérique et le Guyana violent la déclaration conjointe d’Argyle et mettent en danger la paix, la sécurité et la stabilité de la région grâce a la présence militaire d'acteurs extra-régionaux et l'accord illégitime de concessions pétrolières dans une zone maritime non délimitée.

Dans ce contexte, nous en profitons pour réaffirmer notre engagement ferme envers la proclamation de la CELAC de l'Amérique latine et des Caraïbes comme zone de paix. C'est le moment que le Guyana montre son engagement envers cette proclamation avec le dialogue, le respect mutuel, la tolérance et la compréhension en revenant à l'accord de Genève de 1966.

Monsieur le président, l'application illégale de mesures coercitives unilatérales contre des peuples entiers par les États-Unis d'Amérique et l'Union européenne est une violation flagrante de la Charte des Nations unies et de toute règle du droit international. Ces mesures constituent des violations massives des droits de l'homme dont le droit au développement ainsi que de véritables crimes contre l’humanité.

Nous lançons à nouveau un appel à la levée complète, immédiate et conditionnelle de tous les régimes de mal-nommées « sanctions » et des blocus qui sont aujourd'hui appliqués contre plus d'un un tiers de l'humanité dont 30 000 000 de Vénézuéliens. Notre solidarité envers les frères de Biélorussie, de République Démocratique de Corée, de Cuba, de l'Érythrée, du Zimbabwe et de tant d’autre qui souffrent jour après jour des effets de ces politiques criminelles.

Monsieur le président, les peuples dignes qui luttent pour leur souveraineté et leur indépendance ont également élevé leur voix en ce lieu et doivent être écoutés.

Le Venezuela affronte aujourd'hui les obstacles de nouvelles formes de colonialisme. Depuis plusieurs années, le Gouvernement de Washington a mis en marche une expérimentation néo-coloniale qui cherche à détruire par tous les moyens possibles notre système démocratique, nos institutions, notre souveraineté, notre indépendance et le droit inaliénable de notre peuple à la libre détermination.

C'est un grand plan de recolonisation qui cherche, à partir d'un coup d’Etat continuel, à détruire notre République. Pour exécuter ce plan, toutes les options ont été et continuent à être sur la table.

Depuis l'application cruelle et inhumaine d’un féroce blocus économique, commercial et financier, presque 1000 sanctions, qui ont coûté à notre nation plus de 642 000 000 000 de dollars seulement pendant les 7 dernières années, à quoi s'ajoutent les pertes de notre compagnie pétrolière d'État, PDVSA, qui se montent à 232 000 000 000 de dollars et le vol de 31 tonnes d'or déposées à la banque d'Angleterre, ainsi que d'autres actifs importants, propriété de la République à l'étranger, sans oublier le vol par l'Argentine et la République Dominicaine, d’avions au service de l'État vénézuélien. 

Le Venezuela n'est pas le seul pays, qui souffre de cette interventionnisme, profondément enraciné dans la tradition colonialiste de la doctrine Monroe qui continue de guetter toute expression d'indépendance politique sur notre continent, comme c'est le cas de la courageuse Cuba et du béni et toujours libre Nicaragua. Ils organisent aussi des coups d'Etat comme Bolivie en 2019 et en 2024 et attaquent sans pitié, avec le soutien des oligarchie locales, le Gouvernement du président Gustavo Pétro, en Colombie, et celui de la président X Castro du Honduras. Tout notre soutien et notre solidarité.

Monsieur le président, le 28 juillet dernier, comme c'est la coutume dans notre démocratie révolutionnaire, le peuple vénézuélien s'est exprimé, consciemment, pacifiquement et massivement pour élire avec des garanties totale, dans la transparence et la liberté, le chef de l'État et du gouvernement vénézuélien pour la période 2025–2031. Le président Nicolas Maduro a été réélu avec un soutien clair et ferme.

Après cette grande victoire populaire, l’oligarchie de mon pays a appelé, encore une fois, à ne pas reconnaître les lois et les institutions et provoqué une violence criminelles qui a fait 27 morts, des centaines de blessés et provoqué la destruction de propriétés publiques et privées. En utilisant des bandes criminelles, ils ont installé des barricades, brûlé des écoles, des hôpitaux et le siège d'institutions publiques et ils ont assassiné des citoyens ordinaires à cause de leur affiliation politique.

On n’a rien vu de tout cela dans les grands médias. Pire encore, le haut commissaire aux droits de l'homme qui, bien qu'il ait reçu toutes les informations sur ces faits criminels et sur l'action responsable de l'État vénézuélien a préféré convertir les victimes en assassins et les assassins en victime, ne parle pas non plus de cela.

Tout au long de ces deux derniers jours, on a alimenté depuis cette tribune, cette campagne fasciste et de désinformation contre notre pays. Le Gouvernement des États-Unis d'Amérique et ses Gouvernements satellites se sont consacrés à mentir, à attaquer et à menacer notre peuple, à partir de cette enceinte qui est un symbole de paix et de compréhension en tentant d'imposer un faux récit.

Mais nous sommes venus ici, une fois de plus, présenter la vérité du Venezuela et de notre peuple. Aujourd’hui, nous venons démasquer tous ces comédiens.

Monsieur le Président, à la tête de cette gigantesque opération se trouve, comme d'habitude, le Gouvernement des États-Unis d'Amérique et ses agences dans le cadre de sa politique ratée de coup d'Etat continuel contre la Révolution Bolivarienne du Venezuela qui a débuté il y a plus de 25 ans.

depuis son territoire, un particulier depuis l'état de Floride, des attaques terroristes contre des fonctionnaires et des installations publiques sont planifiées. Ils utilisent aussi les réseaux sociaux impunément et avec le soutien total de la Maison-Blanche pour organiser des incursions mercenaires comme en mai 2020.

Bien que Washington nie être impliqué, à cette occasion, ils ont été pris « in fraganti ». Les enquêtes sur les derniers plans d'agression ont révélé que, derrière la violence post électorale, se trouvaient plusieurs mercenaires étasuniens et européens dont un militaire d’active des États-Unis d'Amérique spécialisé dans les opérations terroristes et les opérations de déstabilisation.

Ces criminels ont avoué qu'il cherchaient à assassiner le président Nicolas Maduro, la vice-présidente exécutive et plusieurs hauts fonctionnaires de l'État vénézuélien en plus d'attaquer les infrastructures essentielles de services comme celui de l'eau et de l’électricité. Nous faisons savoir que tous ont été capturés, y compris deux personnes liées au Centre National de Renseignement (CNI) de l'Espagne. Plus de 400 fusils de différentes sortes, certaines étant à l'usage exclusif des forces armées des États-Unis d'Amérique ont également été saisis.

Dans les prochaines semaines, notre Gouvernement, présentera plus de preuves de ce qui s'est passé, beaucoup plus convaincantes, qui surprendront le monde.

Monsieur le président, une phase supplémentaire de ce plan, criminel d'agression s'est développé dans les derniers pendant ces derniers jours, à travers un autre groupe de mercenaires que ont ouvert une page Web dans ce pays pour, ouvertement, collecter des fonds pour attaquer le Venezuela et assassiner de haute personnalité. Cette initiative a le soutien public d'agences du Gouvernement, de parlementaires et de sénateurs étasuniens. Le récit hypocrite de l'oligarchie ne condamne pas une telle aberration.

Dans cet ordre d'idée, il faut souligner que les Etats ont l'obligation de garantir que leur territoire ne soit pas utilisé pour financer, planifier, faciliter ou commettre des actes de déstabilisation, à travers le recours à des mercenaires et des terroristes. C’est pourquoi nous exigeons du Gouvernement des États-Unis qu'il respecte ses obligations internationales en cette matière.

De même, nous devons souligner que c'est plans terroristes, planifiés pendant des mois, se sont déroulés en même tant que les négociations et la signature d'accords entre le Venezuela et les États-Unis d'Amérique à Doha, en septembre de l'année dernière, des accords à travers lesquels on cherchait à avancer vers la normalisation des relations entre les deux nations. Une preuve de plus qu’on ne peut avoir confiance en la parole ni en la soi-disant bonne volonté de l’empire.

Le peuple vénézuélien exige le respect immédiat des engagements pris à Doha de lever toutes les mesures coercitives unilatérales qui pèsent illégalement aujourd'hui sur notre pays, et nous remercions le Gouvernement de l'État du Qatar pour ses bons offices en tant que médiateur de ces négociations.

D'autre part, et nous tenons à le dire ainsi, tout cela survient également alors que le Gouvernement des États-Unis d'Amérique, qui fomente et finance des actions criminelles tout autour du monde, inclut Cuba, sans aucun fondement, dans une sale liste de pays qui soi-disant patronne le terrorisme.
Monsieur le président, cette nouvelle agression contre le Venezuela qui est toujours en cours aura exactement le même destin que toutes les précédentes : un échec retentissant.

Malgré les opérations psychologiques avec lesquelles on cherche à générer la confusion, les opérations ouvertes et secrètes de Washington dans le cadre de ce qu'on appelle une politique de « plus forte pression », au Venezuela, la paix sociale règne aujourd’hui. Les plans pour créer la violence ont été vaincus grâce à la fermeté de notre peuple à défendre son droit à vivre en paix.

Aujourd'hui, en outre, le Venezuela, étant train de réaliser une croissance qui lui permet de s'insérer avec force dans la dynamique économique mondiale en apportant sa force dans la production d'énergie, d'aliment et de biens et services de première nécessité. Cette épopée a été possible grâce à l’engagement du peuple vénézuélien et à une direction ferme qui a réussi à affronter le blocus.

Monsieur le président, dans cette situation, nous appelons les peuples libres du monde amoureux de la paix à renforcer l'unité face à ceux qui cherchent à nous diviser pour réussir ainsi leurs plans de domination néo-coloniaux. C'est l'heure du Sud Mondiale, c'est l'heure de ce nouvel ordre mondial tant souhaité, c'est l'heure de renforcer ce nouveau monde pluri-polaire et multi-centré de paix et de prospérité économique, sans hégémonie, c'est l’heure de sauver les principes fondateurs de la charte de l'ONU, et de faire honneur à ce que cet organisation soit au service de « Nous, les peuples », comme il est dit dans son préambule.

Le Venezuela met au service de l'humanité sa Diplomatie Bolivarienne de Paix pour avancer dans cette direction, comme le démontre le fait qu'il soit à la tête du « groupe des amis en défense de la charte des Nations unies. »

Ces principes sont les principes qui constituent le récit des peuples libres qui s'exprime dans de nouvelles formes d'association basées sur les principes de solidarité et de complémentarité comme l'Alternative Bolivarienne pour les Peuples de Notre Amérique (ALBA–TCP), les BRICS et d'autres horizons plein d'espoir du nouvel ordre mondial émergeant dans lequel notre pays étant en train de s'insérer rapidement.

Monsieur le président, permettez-moi de conclure en soulignant qu’au  Venezuela, nous sommes toujours debout, nous livrons bataille, de la main de notre peuple, dans une organisation permanente et la mobilisation permanente, dans la lutte pour continuer à renforcer notre indépendance.

Peu importe qui est le chef de l’impérialisme étasunien qui parlera à cette tribune, d’ici un an. Soyez sûr que la voix claire et rebelle du peuple de la République Bolivarienne du Venezuela continuera à être présente dans ce forum, sous la conduite ferme du président Nicolas Maduro Moros.

Comme Bolivar, nous disons : « Dieu accorde la victoire à la persévérance ! »
Merci beaucoup, Monsieur le Président.

Source en espagnol :
https://www.nodal.am/2024/09/venezuela-discurso-del-ministro-de-relaciones-exteriores-yvan-gil-pinto-79-periodo-de-sesiones/
URL de cet article :

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