Venezuela : Les États-Unis défendent les opposants impliqués dans 7 conspirations.
Traduction Françoise Lopez pour America latine–Bolivar infos
Le Venezuela à condamné samedi les actions du Gouvernement des États-Unis (USA) qui a défendu et qualifié de soi-disant victimes de « persécutions politiques » les acteurs criminels d'extrême droite impliqués dans au moins 7 conspirations contre de hauts fonctionnaires du pays.
Dans un communiqué, le Gouvernement du président Nicolas Maduro a condamné la déclaration du département d'État des États-Unis en défense des criminels liés à des actes terroristes et à des coups d’Etat.
Le Gouvernement a condamné la prétention des États-Unis à faire passer pour des victimes de persécutions politiques des individus impliqués dans des délits contre le pays.
Caracas a affirmé qu'elle continuera à agir pour garantir le libre déroulement des élections, la paix, la stabilité et le rétablissement de l'économie malgré les agressions qui se présentent.
Depuis l'année dernière, le pays a neutralisé au moins 7 conspirations qui avaient pour but d'attaquer des installations militaires et de provoquer la violence dans le pays.
La chancellerie a émis un communiqué dans lequel elle a écrit : « Le Gouvernement de la République Bolivarienne du Venezuela condamne catégoriquement le communiqué du porte-parole du département d'État des États-Unis, en défense des opposants criminels qui, en répondant aux intérêts des États-Unis et du secteur de l'opposition lié aux grands noms ont voulu créer une ambiance de violence dans le pays. »
« Seulement entre entre 2023 et 2024, les autorités vénézuéliennes ont réussi à désactiver réellement au moins 7 conspirations. »
« La défense que le département d'État fait de ces agents criminels cherche à transformer des tueurs à gages, des terroristes et des putschistes en victimes. »
« Le peuple et le Gouvernement du Venezuela rejettent cette pratique de présenter les responsables de ces faits comme des personnes persécutées politiquement, » dit le communiqué officiel.
Source en espagnol :
URL de cet article :